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Accueil du site > Temps qui courent > Tant qu’ils courent

  • Le départ de Joseph

    En novembre, par ce froid mois de la tristesse et de la grisaille – du moins en Europe parisienne parce que, dans l’Océan Indien, l’été s’installe, chaud et humide - , à la fin de ce mois des premières neiges et des espoirs pour l’hiver, un vivant s’est éteint. De Bialot je ne sais pas grand chose, à part ses livres. Bialot c’est la vie, la vie intense et débordante, un peu gouailleuse, un peu grandiloquente, une vie qui n’en finissait pas de s’ébrouer après l’épreuve de la déportation . Joseph Bialot (...)


  • l’emmerdeur

    Il écrit des livres, il parle bien, il a l’esprit vif et malin, il possède même quelques défauts visibles. Et il vient de commettre un nouvel essai. La définition d’Etiemble convient parfaitement à Regis Debray : cet intellectuel est un emmerdeur. Moins bien coiffé que les rejetons de Sartre, moins fixe dans la pose, ce sexagénaire conserve son air de vouloir en découdre avec le destin, celui qui l’a mené en Bolivie sur la trace de l’absolu héroïque tout en le faisant naître dans cette génération (...)


  • l’homme qui passe

    Bernard Magnier voyage avec dans ses bagages...